alyx ♦ i have no one to go with.

• messages : 8 • inscrit(e) le : 08/05/2010

« sometimes i feel like i'm from another world,
and everything i want in life seems impossible. »

NOM(s) : marshall
PRÉNOM(s) : alyx crystal
AGE : dix-sept ans
DATE DE NAISSANCE : 17/12/93
LIEU DE NAISSANCE : new york
ÉTAT CIVIL : () Mr () Mme (x) Mlle
NATIONALITÉ : américaine
ORIGINES : anglaises
TAILLE : 1m69
POIDS : 54k
COULEUR DES YEUX : bleus
COULEUR DES CHEVEUX : bruns
MÉTIER : encore au lycée
RÊVE DE BONHEUR : avoir un jour une vie normale, sans mensonges & sans problèmes
SURNOMS : aly ; lyx
PARTICULARITÉ(s) : son style plutôt grunge

patiente
indépendante
déterminée
ambitieuse
autonome
douce
imprévisible
persévérante
tolérante
sûre de soi

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13 FEVRIER 2000.
Malgré mon jeune âge en ce temps-là, je me souviens très bien de cette date. Ce treize février restera surement toujours gravé dans ma mémoire. J'avais seulement sept ans. J'étais une petite fille avec un sourire au lèvre constant, bien que je n'avais pas vraiment de quoi être heureuse. J'avais eu un début d'enfance déjà désastreux. A cette époque-là, mon grand frère, Eden, faisait tout pour me cacher que rien n'allait dans notre "famille". Je me souviens de nos discussions répétées à propos de notre père. Depuis que j'étais entrée en primaire, j'avais appris que les autres enfants avaient des pères aimants. Moi, je n'avais jamais connu le mien. Notre mère ne nous avait jamais donné d'explication à ce sujet. Alors, mon frère me donnait des excuses toutes plus stupides les unes que les autres pour expliquer l'absence de père. Mon frère. Depuis toujours, il a essayé de me protégé de toutes ses mauvaises aventures de la vie. C'est la personne que j'aime le plus au monde, plus que tout.

Justement, je me souviens de ce treize février -malgré que les détails restent flous dans mon esprit- parce qu'on avait essayé de me séparé de lui. J'étais trop jeune & n'avais rien compris à la situation. Une horrible situation qui se déroulait sous mes yeux enfantins. Ce jour-là, trois hommes & une femme étaient venus à notre domicile. A l'époque, nous habitions à trois dans un appartement de la banlieue de New York. Nous avons toujours vécu dans de modestes moyens. La femme, une grande blonde à l'air doux, s'occupait de moi. Elle essayait de m'éloigner de mon frère. Ce dernier comprenait ce qui se passait. Il se débattait, il les insultait. De quatre ans mon aîné, il avait toujours mieux compris les choses que moi. Jusqu'à maintenant, il me voit encore comme une gamine à protéger. Ce n'est que plusieurs années plus tard que j'ai compris qu'il s'agissait des services sociaux. Mon oncle les avait prévenu du problème de ma mère avec l'alcool. En effet, il était courant qu'en rentrant de l'école accompagnée de mon frère je trouve ma mère allongée sur le canapé, complètement ivre. Ed' me disait qu'elle faisait juste une sieste. Je l'avais cru ; je le croyais toujours sur parole. Malheureusement, ils m'arrachèrent à lui sans attendre. Durant trois longues années, j'ai été obligée de vivre éloignée de mon aîné. Je crois que c'est à ce moment-là que j'ai perdu mon sourire. Je ne suis plus une fille souriante & pleine de vie depuis ce jour-là.

22 MARS 2003.
Trois ans étaient passés. Trois longues années, interminables. La famille d'accueil dans laquelle on m'avait placé était certes gentille, mais ce n'était pas la mienne. Mon frère était ma famille & on m'en avait séparé injustement. Je le voyais deux ou trois fois tous les deux mois. Seulement. Je me souviens des paroles de ma mère adoptive. « Mange ton frère ne serait pas heureux de te voir maigre comme un squelette. » me disait-elle, m'encourageant à avaler mes pâtes. Je l'aimais bien, mais ça s'arrêtait là.
Longtemps, j'en ai voulu à mon oncle. Il était le petit frère de ma mère & l'avait poignardé dans la dos. Mais avec du recul, je compris que ce n'était que pour notre bien. & puis, je commençais à haïr ma propre génitrice. J'appris ce qu'était l'alcool, la dépendance... & je fis bien vite le rapprochement. Je me jura de ne jamais avoir d'enfants, de peur de leur faire ce qu'elle nous avait fait subir.

Heureusement, mon oncle, Nathanaël, se rendit compte de la bêtise qu'il avait fait. Malgré son très jeune âge, il décida de réclamer ma garde ainsi que celle de mon frère. C'est ce vingt-deux mars là que nous emménagions enfin comme une "vraie" famille. J'avais retrouvé Ed', alors tout allait pour le mieux.

Mon enfance commença vraiment à cette époque là. Je n'avais plus vraiment de soucis, j'étais avec deux personnes que j'aimais... nous vivions bien. Nous habitions dans un appartement à New York que mon oncle pouvait se permettre de se payer grâce à son salaire d'avocat. Tous les matins, Eden & moi traversions le Central Park pour nous rendre à l'école. Au passage, nous avions l'habitude d'acheter un cookie que nous étions censés nous partager mais il me disait toujours qu'il n'avait plus faim & me le laissait.

14 DECEMBRE 2004.
Bien sûr, tout ne pouvait pas rester beau éternellement. Ma mère s'en mêla. Elle avait toujours apporté des problèmes dans la vie des gens qu'elle fréquentait & continuait, sans cesse. Un jour, elle sonna à la porte de la maison de mon oncle, comme si de rien n'était. Comme si elle nous avait bercé tous les soirs comme chaque mère responsable. La haine que j'avais commencé à cultivé envers elle était beaucoup moins pire que celle de mon frère. Lorsqu'il la vit, il l'insulta & alla s'enfermer dans sa chambre en mettant sa musique à fond. Mon oncle, lui aussi, voulu lui fermer la porte au nez. J'étais perdue, & j'écoutai de loin la discussion qu'ils eurent. Je ne voulais toujours pas me mêler des histoires d'adultes, & je ne veux toujours pas. « Léonore ? » s'était-il exprimé, profondément choqué. « Je ne compte pas reconfier ces enfants à une ivrogne ! » avait-il finit par dire avant de sortir pour se disputer avec sa sœur loin de mes oreilles encore trop enfantines pour être confrontées à la dure réalité.

Bref, cette "femme" voulait notre garde. Apparemment, elle avait suivi une cure de désintoxication pour nous récupérer. Quelle blague. Je ne pouvais l'appeler "maman" de nouveau. Elle était comme une étrangère pour moi. Mon frère refusait de parler d'elle. C'était le seul sujet qui le mettait en colère devant moi. Mon oncle, quant à lui, essayait d'éviter tant bien que mal de répondre à mes questions. Je me sentais perdue. J'entrais dans l'adolescence, & je pense que c'est à cause de ça que je n'ai jamais été très sage. Nathanaël ne me blâmait pas pour mes notes qui n'étaient pas excellentes partout, il s'était toujours montré plus qu'attentionné avec moi. Finalement, était-ce un peu comme ça un père ?

2010.
Je demeurais encore & toujours cette fille étrange aux yeux des gens. Ils ne connaissaient pas une seule partie de mon passé & inventaient tous des histoires tout aussi puériles les unes que les autres. Je n'avais jamais été une adolescente très sociale, alors je leur disais d'aller se faire foutre, tout simplement. Nathanaël -que je considérais finalement plus comme un deuxième grand frère que comme un père- m'avait répété qu'il fallait que je sois plus gentille, que c'était normal qu'ils se posent des questions. Une part de moi était d'accord ; je n'avais pas vraiment d'amis & j'en connaissais la raison. Cependant, ma vie n'était pas un désert affectif. Je sortais, je buvais, je couchais. & je le fais encore, malgré le grand désaccord des deux hommes qui m'ont élevé. Les gens disaient que je n'étais qu'une junkie. Peut-être l'étais-je.

Quoiqu'il en soit, nous quittâmes New York. NY, la ville où j'avais grandis. La seule que je connaissais. Les moindres recoins, les moindres fêtes, les moindres endroits où on pouvait se procurer "de la bonne"... Bref, j'étais arrachée à mon milieu naturel. Cependant, j'en étais plus que contente. Tous les mauvais souvenirs qui avaient meublé mon passé pourraient peut-être s'effacer -un peu. La raison de notre déménagement soudain ? La mutation du poste de mon oncle. Il nous en avait parlé pour savoir si nous étions d'accord. Bien sûr, nous l'étions. Nous étions plus qu'heureux de quiter NY & de laisser les gens qui se posaient tant de questions derrière nous.

« Une fois arrivés dans ce petit quartier de Californie, essayons de ne pas nous faire remarquer. » disait Nate. Il m'avait aussi prise à part pour me dire qu'il fallait que je me calme sur les fêtes, pour mon bien. Je lui ai fait une promesse... que je ne serais surement pas capable de tenir.
Il voulait aussi qu'on prétende être trois frères & sœur pour ne pas attirer les mauvaises langues. Cette idée nous plaisait ; mon frère & moi n'avions jamais aimé être la cible de tant de commérages. Cependant, nous ne nous doutions pas de ce que cela faisait de vivre en banlieue. Je me rappelle du jour de notre emménagement -il n'y a même pas un mois- tout le monde nous regardait comme si nous étions des extraterrestres. J'entendais les mères de famille chuchoter derrière nous. « Il parait qu'ils viennent de New York... non mais, regardez moi le look de ces enfants... regardez la fille, elle a des collants effilés... » disaient-elles en me regardant l'air désapprobateur. Franchement, cela m'avait fait rire plus qu'autre chose. Je m'étais retournée vers mon frère pour lui montrer l'air coincé des ados de cette ville, malgré qu'il n'en soit plus un. Il avait tout de même décidé de nous suivre. Je n'imaginais pas ma vie sans lui, que ce soit dans dix jours ou dans dix ans.

cynique
imprudente
sensible
fataliste
impulsive
individualiste
rebelle
réservée
possessive
mystérieuse

« 10 choses à faire avant de mourir. »

Même si elle ne l'a jamais dis à quiconque, elle aimerait avoir une franche discussion avec sa mère, malgré que pour le moment elle préfère la fuir.

Elle aimerait partir avec un simple sac sur le dos, contenant le stricte minimum, à l'aventure. L'Amérique, l'Europe, ou l'Asie, peu importe, elle voudrait juste partir loin de tout.

Se découvrir un don soudain qui la rendra riche... pourquoi pas ?

Apprendre à aimer.

Apprendre à parler français pour pouvoir insulter les gens de manière classe.

Trouver sa vocation, sa passion.

Faire la fête tous les jours jusqu'à tomber par terre d'épuisement.

Trouver un moyen de remercier son oncle pour tout ce qu'il a fait pour son frère & elle.

Apprendre à jouer de la guitare parfaitement.

Aller à Amsterdam le pays de la fumette...

« 10 choses à savoir sur ALYX. »

La personne qui compte le plus aux yeux d'Alyx est son frère aîné.

Elle n'est pas une adolescente modèle ; elle fume, boit, couche, fait la fête... bref elle en fait voir de toutes les couleurs à son oncle qui a sa garde.

Malgré qu'elle soit une grande solitaire, elle croit en l'amour & souhaiterait le trouver un jour. Mais pas question d'avoir une bague au doigt ou un truc dans le ventre.

Son style vestimentaire est très peu apprécié par les mères de famille ; depuis qu'elle est arrivée ici elle a remarqué qu'on avait conseillé aux adolescents de ne pas la fréquenter.

L'adolescente ne s'est jamais vraiment attachée à quelqu'un. C'est une personne réservée & très peu bavarde. Ses seuls contacts humains se déroulent en soirée.

Inexplicablement, elle a une attirance envers les mauvaises fréquentations. La petite imprudente aime l'interdit & le danger.

N'ayant aucune idée de ce qu'elle veut faire de sa vie plus tard, elle ne s'est jamais vraiment investie dans ses études. Ses résultats sont en baisse mais elle ne s'en inquiète toujours pas.

Elle est une grande "je m'en foutiste" & a toujours envi de dire à tout le monde d'aller se faire foutre -d'ailleurs c'est son expression favorite qu'elle emploie plusieurs fois par jour.

Lorsqu'elle habitait à New York, elle s'est fait virée de son collège pour cause de pyromanie avec des camarades.

Elle est très cynique & n'évoque pas souvent le bon côté des choses.

J'AIME ▬ tous les gâteaux du monde ♦ la cigarette ♦ les fêtes ♦ passer du temps seule en se promenant dans un parc vide ♦ la musique, apprendre à jouer de la guitare ♦ boire en compagnie de personnes sympathiques qui se fichent de son passé ♦ son frère & son oncle ♦ sortir ♦ lire des livres de psychologie.

JE N'AIME PAS ▬ être trop entourée

les personnes qui sont heureuses & qui sourient sans raison

ceux qui lui posent des questions sur son passé

sa mère

rester chez elle sans occupation

hésiter & ne pas être sure d'elle

quand on la contredit.

[size=16]« Be Yourself »
PSEUDO : lexyr
AGE : 14a
GROUPE : "dur dur d'être ado"
AVATAR : kaya scodelariooo
CRÉDITS (icônes) :
PAYS : france!
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? partenariat je ne sais plus où...
COMMENT LE TROUVES-TU ? beau, ORIGINAL. (ll)
POURQUOI CE PERSONNAGE ? parce que j'aime jouer les ados étranges isolés aha! (& kaya l'incarne très bien)
UN SUGGESTION A FAIRE ? uip! les codes pour la fiche de présentation sont un vrai casse tête pour l'histoire... ça fonctionne aléatoirement, un coup j'actualise & c'est bien, un coup non.. ça m'a rendu folle donc j'abandonne. xD
TOUJOURS MOTIVE APRÈS UNE TELLE PRÉSENTATION ? oh que oui, pressée de faire mes chers scénarios!
C'EST LEQUEL TON SMILEY PRÉFÉRÉ =DD ? parce qu'on dirait un fou!
T'EN AS PAS MARRE DE MES QUESTIONS ? ouais, nan... un peu! x)
T'ES SUR *sbaff* ? ou pas.
UN MOT POUR LA FIN ? TU VAS ME LAISSER TRANQUILLE ?